jeudi 3 décembre 2015

FIFA : un Mondial à 40 équipes en 2026 ?

Alors qu'une vague d'arrestations a encore eu lieu ce jeudi à la FIFA, l'instance mondiale du football envisage d'effectuer des réformes dans le monde du ballon rond. Selon les informations de la BBC, la FIFA étudierait actuellement la possibilité d'augmenter le nombre de participants pour la Coupe du Monde 2026.
En effet, 40 équipes pourraient ainsi disputer la phase finale de cette compétition. Pour rappel, le total des nations en lice lors d'un Mondial est actuellement de 32. Même si le comité exécutif de la FIFA n'a pas trouvé d'accord à ce sujet ce jeudi, cette idée sera à nouveau étudiée dans un futur proche.

mercredi 25 novembre 2015

Fifa : la radiation à vie du foot requise contre Michel Platini

La radiation à vie a été requise contre Michel Platini par la chambre d'instruction de la justice interne de la Fifa ce mardi. 

"Un pur scandale". La radiation à vie a été requise contre Michel Platini par la chambre d'instruction de la justice interne de la Fifa, a indiqué mardi à l'AFP Maitre Thibaud d'Alès, l'avocat du président de l'UEFA, qui dénonce un "pur scandale" et la "démesure" d'une telle peine demandée.
C'est la chambre de jugement de la Fifa qui doit rendre le verdict final en décembre dans ce dossier, qu'a pu consulter l'avocat de Platini, candidat à la présidence de la Fifa. Il est reproché à Platini un paiement de 1,8 million d'euros reçu en 2011 de Joseph Blatter, président démissionnaire de la Fifa, pour un travail de conseiller achevé en 2002. "La chambre d'instruction du comité d'éthique de la Fifa a requis le bannissement à vie de Michel Platini, nous l'avons vu dans le dossier qui nous a été transmis. Je regrette que cela soit sorti, car la plus grande confidentialité devait entourer cette procédure", a commenté auprès de l'AFP Maitre D'Alès, regrettant la fuite de cette information mardi matin sur le site de Libération
"Les masques tombent". "Ce bannissement requis est conditionné à la preuve d'une corruption. Mais il y a clairement une démesure de la peine requise. Elle ne repose sur rien dans le dossier. On peut se demander si la personne chargée d'enquêter ne doit pas être appelée "la personne chargée de spéculer" ou la personne "chargée d'éliminer Michel Platini" en vue de la présidence de la Fifa", a poursuivi Maitre D'Alès. "C'est un pur scandale. Et en rendant public cela, il y a clairement une volonté de nuire. Les masques tombent les uns après les autres à la Fifa, il y a une instrumentalisation du calendrier électoral et une stratégie d'élimination du candidat Platini", a ajouté l'avocat de l'ex-triple Ballon d'Or, membre du cabinet Clifford Chance à Paris.

La commission d'éthique de la Fifa, interrogée par l'AFP, s'est refusée à tout commentaire. Une source proche de la Fifa, qui n'a pas souhaité être citée a indiqué, au sujet des réquisitions rendues publiques, qu'il pourrait s'agir d'une "manœuvre du camp Platini pour montrer le supposé préjugé anti-platinien de la commission d'éthique". "Je suis scandalisé que cela ait fuité", a souligné pour sa part Maitre D'Alès, réfutant ainsi auprès de l'AFP, une telle manœuvre.

lundi 16 novembre 2015

Sinthiou Bamambé : Pose de la première pierre du lycée

Afin d’améliorer les conditions d’étude et de vie des lycéens en leur offrant des infrastructures et les outils de qualité nécessaires à leur apprentissage, l’ADESBA et le PAISD vont construire et équiper le nouveau lycée de Sinthiou Bamambé pour une durée de 8mois.

Ce vendredi 13 Novembre 2015, Jean FELIX-PAGANON (ambassadeur de la France au Sénégal), Mamadou TALLA (Ministre de la Formation Professionnelle de l’Apprentissage et de l’Artisanat), Tibou GASSAMA (président de l’Association pour le Développement de Sinthiou Bamambé section France), Mamadou Thierno TALLA (président de l’ADESBA section Dakar), le président du conseil départemental de Kanel, le Maire adjoint de ladite commune, l’inspecteur d’académie de Matam, le proviseur du lycée et de nombreux élus ont donc posé la première pierre symbolique.
L’ADESBA est engagée à construire et à équiper  dans la commune de Sinthiou Bamambé Banadji un lycée secondaire général d’un coût de 180 millions de francs CFA. En partenariat avec le PAISD (Programme d’Appui aux Initiatives de Solidarité), l’ADESBA a obtenu une subvention de 60% soit 108 millions de francs CFA. Le nouveau lycée va accueillir les élèves de la commune de Sinthiou Bamambé Banadji, des villages de Séno Palel, de Ouro Sidy, de Daiba, de Wéndou Nody, de Tékinguel, de Kellol et tout le Dandé mayo.

Le nouveau lycée va répondre à la croissance démographique de la commune et des villages environnants. Il va augmenter la capacité d’accueil des élèves.

Attentats : Abdel Abaaoud, l’homme derrière les attentats français selon INFO M6

Abdel Abaaoud est le francophone le plus recherché de Syrie. Il a joué un rôle central dans des attentats et tentatives perpétrés sur le territoire national depuis dix huit mois. C'est également l'homme qui est derrière les attaques à Paris de vendredi soir.

Agé de 27 ans, l’homme originaire du quartier bruxellois de Molenbeeck serait directement impliqué aujourd’hui dans les attentats tragiques qui ont endeuillé la capitale vendredi dernier. Selon plusieurs sources, il est d’ailleurs l’un des intimes de Salah Abdeslam ; l’un des membres présumés et toujours en fuite du large commando qui a visé le Bataclan, le Stade de France, et plusieurs commerces du Xe et XIe arrondissement de la capitale le vendredi 13 novembre.
Son parcours
Débarqué en Syrie il y a près de deux ans, Abdel Abaaoud aurait peu à peu gravi les échelons dans la hiérarchie de Daesh, au point d’en devenir un rouage essentiel, chargé du recrutement, de l’entraînement et de la planification d’attentats en Europe – et plus particulièrement en France- au moyen de jeunes combattants qu’il aurait préalablement eu sous ses ordres. Dans la région syrienne de Raqqa, l’homme affiche une réputation de tueur sanguinaire, et se met en spectacle sur une vidéo de propagande où on l’aperçoit tirer des corps attachés au 4x4 qu’il conduit.
En janvier 2015, alors que Paris est la cible des attaques sanglantes menées par les frères Kouachi et Amédy Coulibaly, il coordonne la cellule jihadiste belge de Verviers, démantelée in extremis par les services de sécurité belges. Malgré ce revers, Abaaoud – rebaptisé de son nom de guerre Abou Omar Soussi – qui a fait venir en Syrie son jeune frère Younès alors tout juste âgé de 15 ans, planifie d’autres actions sanglantes. Et son nom et son implication vont peu à peu se mêler avec le parcours de jihadistes français.
Des salles de concerts visés
Si son rôle supposé en Syrie ne fait pas mystère pour les services spécialisés, des témoignages vont asseoir sa réputation. A la mi-août, un jeune français prénommé Réda H. est interpellé en région parisienne à son retour de Syrie, sur la base d’une information fournie par un jihadiste espagnol.
Lors de sa garde à vue, le suspect va relater son parcours : un bref passage d’une dizaine de jours dans la région de Raqqa où il suit un entraînement militaire intensif visant à acquérir une technique de combat nécessaire à la réalisation d’attentats en Europe. Blessé lors d’un exercice, il se voit confier la mission de cibler des salles de concerts en France.
Des liens avec Sid Ahmed Ghlam et Ayoub El-Khazzani
Mais il sera interpellé peu après son retour en France à la suite d’un périple ou il passe par la Turquie, la Pologne, la République Tchèque et les Pays-Bas.  Pourtant, selon plusieurs sources, ce funeste projet lui aurait été confié par un homme : Abdelhamid Abaaoud. Ce même homme qui a connu il y a plusieurs années  l’un des membres du commando du Bataclan. Abdelhamid Abaaoud, qui au cours des dix huit derniers mois, aurait été en contact  Sid Ahmed Ghlam et Ayoub El-Khazzani, le tireur du Thalys.

Par Adrien Cadorel

jeudi 12 novembre 2015

Célébration de la journée nationale sur l’éducation des filles

L’inspection d’académie et la communauté éducative de Matam a célèbré ce mercredi 11 novembre 2015 la journée nationale sur l’éducation des filles. Le thème de cette année est: promouvoir l’éducation des filles et l’inclusion des enfants à besoins spécifiques spéciaux pour une éducation équitable de qualité au service du développement durable : la réponse du Sénégal.

Pour booster l’éducation des filles et leur maintient dans les structures scolaires, l’inspection d’académie de Matam à l’instar des autres inspections d’académies du Sénégal a célébré ce 11 novembre 2015 la journée nationale de l’éducation des filles à Matam sur le thème « promouvoir l’éducation des filles et l’inclusion des enfants à besoins spécifiques spéciaux pour une éducation équitable de qualité au service du développement durable : la réponse du Sénégal». La manifestation est présidée par le gouverneur de la région de Matam, Monsieur Oumar Mamadou Baldé qui dit : « je suis venu ici pour montrer mon  soutien à l’éducation. C’est à partir de l’éducation qu’on peut vaincre l’ignorance ». Il continue dans son discours pour dire qu’ «un enfant mal éduqué a mille chances d’échouer alors qu’un enfant qui va réussir c’est quelqu’un qui a des ambitions. Si vous voulez réussir, Ayez l’ambition de mettre à l’aise vos parents. Imposer en vous un caractère de politesse. »
Quand à l’inspecteur d’académie de Matam Monsieur Seydou SY,  l’éducation des filles est la priorité de l’académie. Il poursuit pour dire : « à l’image de la marraine, nous voulons faire aimer les filles les filières scientifiques. Nous avons choisit Mme Sall pour l’offrir en exemple aux jeunes filles ».
 La marraine de cette année est Mme Sall Fatou kiné Diop, coordinatrice du programme USAID Yaajeende. Très émise et honorée, Mme Sall est ingénieur agronome. Elle affirme qu’elle va suivre de pré les dix filles récipiendaires. On a primé les quatre meilleures filles qui sont admises aux examens CFEE et au BFEM, une fille au Centre de Formation Professionnelle de Matam et une fille à mobilité réduite.
Et pour Hawa Oumar Diaw la coordonnatrice du bureau genre à l’inspection d’académie de Matam« aujourd'hui est le jour où nous concentrons notre attention sur la petite fille, mais ce n’est pas un jour isolé. Il fait partie des efforts massifs et inexorables vers un monde avec l'égalité des sexes. »
Les filles forment un groupe démographique particulièrement vulnérable et sont confrontées à des obstacles sur le plan social, économique et politique. Alors qu’elles ont le potentiel de devenir les leaders de demain et les actrices du changement. Leur autonomisation se heurte parfois à des facteurs tels que les grossesses non désirées, les mariages précoces et forcés, la violence basée sur le genre et un accès limité à l’éducation supérieure et aux services de santé de la reproduction.  Nous devons à présent nous mettre au travail pour atteindre les objectifs fixés et remplir notre promesse faite aux filles de leur offrir les opportunités qu’elles méritent, tout au long de leur cheminement vers l’âge adulte. Donc il faut inviter les chefs d’établissements à prendre des dispositions nécessaires pour rendre l’espace scolaire sécurisant pour les filles et lutter contre les mariages précoces dans la région de matam.

mardi 6 octobre 2015

Une finale à gout amer

La finale intercommunale du département Kanel est jouée ce samedi 03 Octobre 2015 au Stade municipale de ladite commune. Elle opposée la sélection communale de Aouré contre celle de Sinthiou Bamambé Banadji.


Initiateur et parrain du premier tournoi intercommunal du département de Kanel, Mamadou Oumar BOCOUM (comptable des grands projets de l’Etat) passe par le sport pour unir tout le département de kanel. Certes c’est une mission lourde et difficile mais il a l’appui de son frère le Ministre Mamadou Talla (Ministre de la Formation Professionnelle, de l’Apprentissage et de l’Artisanat). En plus le ministre, le parrain était accompagné entre autres la député Néné Mariame KANE, Abdoulaye ANNE (le président du conseil départemental), le préfet et d’autres responsables du département de kanel.
Très disciplinées dans le terrain, les deux équipes ont produit un beau jeu durant les 90 minutes. A la fin de la rencontre, elles se sont quittées sur un score d’un but partout. Elles ont été départagées par une série des tirs au but. La sélection de Aouré a remporté par 4 à 3. Le match est joué dans le calme seulement nous avons noté beaucoup de couac dans l’organisation. Car malgré les assurances des organisateurs sur l’état du terrain, les équipes ont joué dans un terrain de très mauvaise qualité. Les montants qui ont été prévu pour le vainqueur et le vaincu ont été divisé par deux. En plus, les deux équipes devraient recevoir un appui de transport et de repas mais elles n’ont rien vu. Et pourtant tout le budget qu’ils avaient demandé a été satisfait.
Ces problèmes viennent s’ajouter aux maux que souffre le football kanelois. Par exemple, l’ODCAV de kanel n’a pas organisé les phases départementales de cette année. C’est vraiment regrettable de voir les départements de Matam et de Ranérou jouer les phases régionales sans Kanel. Nous avons un problème de dirigent et le football du département de kanel ne mérite pas ça. Et c’est dommage pour tous ces dirigeants et pour notre département car leurs efforts ne seront pas récompensés à cause de ses manges mil. Ne mélangeons pas le sport et la politique. Le sport est neutre et il n’a pas de couleur.

mercredi 12 août 2015

Australie : accusé de trafic de cocaïne à 91 ans

Un Australien âgé de 91 ans est accusé de trafic de cocaïne par les autorités. Il a été intercepté à l’aéroport de Sydney avec 4,5 kg de cocaïne dissimulés dans des bagages. Il explique ne pas savoir qu’il transportait de la drogue.
C’est peut-être le trafiquant le plus âgé du monde. Un Australien de 91 ans est accusé d’avoir tenté d’acheminer 4,5 kg de cocaïne dans son pays. La drogue a été découverte dans 27 pains de savon dissimulés dans ses bagages. L’homme a été intercepté à son arrivée en provenance de New Delhi (Inde).
Il a comparu mardi 11 août en Australie. Devant la presse, le chirurgien à la retraite a expliqué ne pas savoir qu’il transportait de la drogue, estimant avoir servi de « mule » à son insu à des trafiquants de drogue.
Il risque la prison à perpétuité
« Dire qu’on ne sait pas qu’on transporte de la drogue dans ses bagages ne veut pas dire qu’on n’est pas passible de poursuites pénales », a rappelé le commissaire adjoint par intérim, Wayne Buchhorn. « Si on vous demande de transporter quelque chose, assurez-vous de savoir ce que c’est exactement », a ajouté le commandant régional de la police aux frontières, Tim Fitzgerald.
Son fils a expliqué que son père avait reçu les savons à la dernière minute, en cadeau de la signature d'un important contrat lié à un héritage.
A 91 ans, le suspect risque la prison à perpétuité. Le meilleur argument pour convaincre les voyageurs de se méfier des cadeaux venant d'inconnus...

mercredi 29 juillet 2015

Tunnel sous la Manche : un migrant trouve la mort à Calais

Pour la deuxième nuit consécutive, au moins 1500 tentatives d'intrusion ont été enregistrées par Eurotunnel. Un Soudanais a trouvé la mort, écrasé par un camion. 

Un migrant a trouvé la mort dans la nuit de mardi à mercredi en tentant d’emprunter le tunnel sous la Manche et d’embarquer sur une navette Eurotunnel. Selon BFM TV, le défunt serait un Soudanais. Il aurait été écrasé par un camion qui descendait d’une navette en provenance d’Angleterre.

mardi 28 juillet 2015

Kanel: Association Foddé Fuuta pose les jalons d'un développemnt local


Depuis sa création, c’est la première sortie de l’association dénommée Foddé Fouta dans la région de Matam. Cette association de développement portée par des cadres du Fouta ou qui aiment le Fouta a choisi Kanel pour marquer son extension vers toutes les contrées du Fouta. Une sortie qui a suscité une forte mobilisation des populations du Damga. Malgré ces potentialités agricoles et minières, cette zone de la région de Matam soufre de plusieurs maux. Conformément à sa ligne conduite, l’association Foddé Fouta se veut une structure par laquelle les solutions sont recherchées et trouvées aux nombreuses difficultés des populations de tout le Fouta naturel.

Yeumbeul : Un maître coranique bat son talibé à mort

Dame Dieng, un talibé âgé de 12 ans, a succombé à ses blessures suite à des sévices corporels infligés par son maître coranique, Samba Ndao. Ce dernier a infligé une sévère correction à l'enfant lui occasionnant plusieurs fractures et une hémorragie. Le drame a eu lieu, hier, au quartier Banda Diallo de Yeumbeul Nord.

Non content d'avoir blessé l'enfant, le maitre coranique s'est gardé de l'acheminer à l'hôpital. Selon les témoignages des autres talibés, le défunt a été mis dans un coin où il a passé une journée recroquevillé, se tordant de douleur. N'en pouvant plus, certains talibés ont pris leur courage en main et sont allés frapper à la porte des voisins pour les informer de l'état de santé de Dame Dieng. Ces derniers ont alerté la police de Yeumbeul. Mais avant que les policiers n'arrivent, le jeune talibé était déjà mort. Son corps a été déposé à la morgue de l'hôpital Aristide Le Dantec où une autopsie devra être effectuée sur instruction du Procureur de la République.

mercredi 22 juillet 2015

Matam pleure ses 12 morts

Trop de mort par noyade à Matam. Les 3 derniers morts du jour de la fête de Korité (Samedi 18 Juillet 2015) sont tous du village de Orkadiéré. Ce qui fait passer le nombre d’enfants morts par noyade de 10 à 13 personnes.


Le revêtement routier est un grand consommateur de granulats. Cette forte utilisation du sable a fini par créée beaucoup de carrières à ciel ouvert dans la région de Matam. Des fosses qui sont parfois très profondes. Et les fortes pluies qui sont abattues dans la région des dernières semaines ont rempli tous les marigots et carrières. Ces niches remplies de l’eau, des cadavres d’animaux, des branches d’arbres, du métal ainsi de suite est l’endroit privilégié des enfants qui échappent à la vigilance de leurs parents. Ces sites de baignades constituent des endroits très dangereux pour les enfants. A moins d’une semaine de la saison des pluies, matam compte déjà 13 morts par noyade. La onzième région du Sénégal est partie pour battre les tristes records nationaux. Où est le gouvernement du Sénégal dans tout ça ? Car personne n’a entendu la réaction du gouvernement face à ses morts en cascade. Où est la solidarité nationale, les hommes de la bonne volonté ? Et j’en passe. Non ce n’est pas sérieux, nous sommes tous des sénégalais. ‘‘DAMGA NEWS ’’ présente ses condoléances à l’ensemble de toutes les familles des disparus. Paix à leurs âmes et que la terre leur soit légère. Amine !!!

BAC 2015: Quatre candidates arrêtées à Pikine

Les épreuves du Baccalauréat 2015 ont débuté le Lundi 20 juillet 2015 sur l’étendu du territoire sénégalais. Mais à peine commencé, ont note des cas de tricheries. A Pikine, quatre candidates ont été pris avec les corrigés des épreuves du Bac.

Des cas de fraude ont été notés lors de la première journée de l'examen du baccalauréat. Quatre candidates ont, en effet, été arrêtées au centre de Pikine. Elles sont en garde à vue au commissariat central de Guédiawaye.
Selon “Libération”, elles avaient, sur leurs portables, les corrigés de toutes les épreuves de la matinée du Lundi. Interrogées, elles sont passées aux aveux et dénoncé leur complice. Ce dernier est activement recherché.
Elles sont passées aux aveux en balançant le nom de leur complice qui est activement recherché. Selon des sources, cette affaire connaîtra des rebondissements dans les prochaines heures et on saura un peu plus sur cette histoire tout de même très grave.

Ce n’est pas la première fois que des cas de tricheries sont notés pendant les compositions du Baccalauréat. Mais à chaque fois, l’Office du Bac chargé de l’organisation de cet examen a réussi à mettre la main sur les coupables.
Au Sénégal, les coupables de fraude au Baccalauréat sont recalés d’office et sont interdit de passer l’examen pendant 5 ans, ils peuvent aussi faire objet de poursuites en justice.

jeudi 16 juillet 2015

DAÏBA SOUS LES EAUX

Les  pluies qui se sont abattues dans la nuit de mardi 14 à mercredi 15 juillet dans la région de Matam, ont fait des dégâts matériels importants avec une perte en vie humaine enregistrée au niveau du village de Goumal dans le département de Kanel.
Les  dernières pluies qui se sont abattues dans la région ont été à l’origine de dégâts matériels très  importants dans les localités de Daïba et Goumal appartenant toutes deux au département de Kanel. Au niveau du village de Goumal, situé dans le «Daandé mayo», la furie des eaux a été telle que plusieurs concessions se sont retrouvées inondées. Notamment, la maison en banco d’un maître coranique dont l’écroulement a occasionné plusieurs blessés et la mort d’un jeune talibé. 
 A Daïba, un autre village affecté qui se trouve à 3km de Sinthiou Bamambé, ce sont surtout les eaux de ruissellement venant des collines et de qui ont engendré des désastres. Tout comme la diguette de protection de la localité, le pont qui se trouve sur la route nationale en partance vers Bakel a aussi cédé devant la furie des eaux. Une situation qui a fortement impacté sur la circulation au niveau de l’axe routier Ourossogui-Bakel qui s’est révélé impraticable. Au niveau du village, où près de 25 concessions ont été fortement inondées, les habitants ont perdu beaucoup de biens.
Le gouverneur de région, Oumar Mamadou Baldé, qui s’est déplacé sur les lieux, à côté des populations, aux premières heures de la matinée, évaluera la situation avec les services techniques pour y apporter les solutions requises. Sur ce, un Comité régional mis sur pied s’active depuis à recenser les populations victimes de l’intempérie... Une bretelle construite en dernier lieu, avec l’assistance de la Société des mines de Matam et le Prodam, a permis la reprise de la circulation au niveau de l’axe. Du provisoire, en attendant des travaux d’appoint.

Confidences de Moustapha Kébé à son ami: "Ne me laisse pas avec eux..."

Dans la nuit du 13 au 14 juillet dernier, Moustapha  Kébé, 26 ans, chauffeur de taxi-bus établi au Gabon trouvait la mort dans la brigade de gendarmerie de Libreville dans des circonstances nébuleuses. Si les gendarmes de la brigade de Pk9 évoquent la thèse du suicide par pendaison, ses compatriotes pensent que le jeune Moustapha Kébé est mort des suites de sévices corporels.

Djiby Sow, ami du défunt et le dernier à l'avoir vu témoigne dans les colonnes de L'Observateur. Dès son arrivée, il a été menotté et placé en garde à vue. Alors que les gendarmes le conduisaient au poste, Djiby Sow raconte que Moustapha Kébé l'a supplié de ne pas le laisser entre les mains des gendarmes car ils allaient le tuer.

 L'Observateur explique que lors de sa garde à vue, ses proches se sont rendus à la gendarmerie pour lui apporter à manger mais ils n'ont pas pu le voir. C'est seulement le lendemain, que les gendarmes ont appelé ses proches pour les informer de son décès. Et ont avancé qu'il s'était donné la mort en se pendant avec son slip, dans la cellule. Ce qui aux yeux de ses compatriotes est tout à fait absurde, puis qu'en position de garde à vue, le détenu est dépouillé de tout ce qui est susceptible de lui porter préjudice. Djiby Sow, explique qu'au moment où les gendarmes l'ont emmené, Moustapha Kébé était en parfaite santé et avait même jeûné. Toutes choses qui poussent les Sénégalais établis à Libreville à manifester pour réclamer justice pour leur ami.

mardi 14 juillet 2015

Les 4 enfants de Guédiawaye retrouvés: Ils étaient ligotés et battus, le ravisseur était une femme

Les habitants du quartier Touba Bagdad de Guediawaye ont poussé un grand ouf de soulagement. Les 4 garçons enlevés depuis jeudi dernier ont finalement été retrouvés, rapporte L Observateur. Mais Serigne Saliou Seck, Talla Gaye, Malick Hanne et Cheikh Sall auraient subi les sévices de leurs ravisseurs. Les quatre gamins ont été retrouvés dimanche aux environs de 1h du matin dans le quartier de Diamaguène, non loin du camp militaire de Thiaroye. Mais, personne n est en mesure de dire les circonstances dans lesquelles ces enfants ont été retrouvés ou encore le motif de leur rapt.
La mère de Malick Hann, raconte dans les colonnes du journal que c est un individu qui les a retrouvés, le dimanche vers 1h du matin et qui a avisé la radio Rail bi Fm. C est ce qui nous a permis de savoir que les enfants avaient été libérés par leur ravisseur. La dame qui les avait enlevés a dû certainement être apeurée par la vindicte populaire pour les jeter dans la rue à cette heure. Une version confirmée par le jeune Cheikh Sall, le plus âgé des 4 enfants enlevés, 6 ans. On nous avait attachés tous les 4 à l aide d une grosse corde et lorsqu’on pleurait, on nous frappait durement avec un bâton. L enfant porte encore les stigmates de son calvaire. Le corps du petit enfant porte les égratignures laissées par la corde à laquelle il était attaché et des coups qu’il a reçus.

samedi 11 juillet 2015

L’AGRICULTURE AU SÉNÉGAL, UN SECTEUR PORTEUR

Le ciel a ouvert ses vannes depuis la semaine passée dans la région de Matam. Presque toutes les localités du Fouta ont été arrosées selon une source proche du service météorologique.
Le potentiel agricole du Sénégal est varié. Les terres exploitables sont vastes notamment dans la vallée du fleuve Sénégal et en Casamance, zones privilégiées de la culture du riz, mais aussi dans la région du Baol, l’historique bassin arachidier. Des chaines de valeurs se mettent en place et d’importantes industries de transformation sont déjà opérationnelles. Le pays dispose des capacités nécessaires pour passer du statut net d’importateur de produits alimentaires à celui d’exportateur.

Mais il ne pleut pas au Sénégal. L’hivernage 2014 était très mauvais. Le président de la République et son gouvernement étaient au courant depuis un certain temps que les pluies seront rares au Sénégal d’après le rapport des experts africains qui ont bénéficié de l’appui technique d’un expert de Météo France. La météo nationale a même annoncé que la saison des pluies de cette année sera courte. Les agriculteurs sénégalais sont conseillés d’utiliser des semences à duré courte.

mercredi 17 juin 2015

Thilogne : Six jeunes écroués par la gendarmerie après le meeting de Farba Ngom

La tension est montée d’un cran à Thilogne, suite à l’arrestation, hier, par la gendarmerie de Ourossogui de quatre jeunes. Ces derniers avaient manifesté lundi dernier contre le manque de considération du Président Macky Sall à l’égard de leur ville.

Convoqués, hier, à la brigade de gendarmerie de Ourossogui, la bande à Amadou Alassane Sow alias Zorro a été placée en garde-à-vue. Les populations de Thilogne sont dans tous leurs états. Elles menacent de se faire entendre si les jeunes ne sont pas libérés. Dimanche dernier, lors d’un meeting tenu à Bosséa le député Farba Ngom avait soutenu que Thilogne n'a pas de place pour abriter l’hôpital que le Président avait promis pour leur localité. Considérant cette déclaration comme un manque de considération envers leur ville, les jeunes de Thilogne ont tenu un point de presse avant de brûler des pneus sur la route.

samedi 13 juin 2015

Ndendory : investissements fantômes de la SOMIVA

Les populations de Ndendory ne voient pas toujours les grands investissements annoncés par la société minière de SOMIVA. En effet, cette société a prévu d’injecter plus de 140 milliards dans cette partie nord du Sénégal, des investissements qui ont commencé depuis 2013 avec un montant de 35 milliards étalé sur 25 ans. Des investissements qui sonnent finalement comme des airs de promesses d’éléphants blancs pour une population assise sur une mine d’or et qui attend toujours sa part du gâteau.

Les grands investissements à hauteur de 140 milliards prévus par la Somiva sont encore invisibles aux yeux de la population de Ndendory, localité située à 55 kilomètres de Ourossogui. Les habitants de cette zone qui espéraient un changement conséquent de leur quotidien avec les avantages afférents aux exploitations des phosphates. En effet, la société minière avait promis d’ériger des infrastructures sanitaires et des écoles pour compenser les quelques désagréments. Moussa est un jeune homme, natif du village reste amère quant à l’évocation de ces investissements : « je ne veux même pas qu’on me parle de ces investissements, c’est un leurre de la somiva. Ils nous avaient promis beaucoup de choses et surtout de l’emploi. Ils nous ont fait remplir des fiches pour nous embaucher et cela fait 5 mois maintenant que nous attendons. » Une frustration qui reste le dénominateur commun de ces populations lassées d’attendre, Ousmane Sy fils du terroir surveillant de son état au lycée de Hamady Ounaré abonde dans le même sens : « nous les populations de Hamady ounaré, nous ne sentons pas les impacts positifs de la présence de sociétés minières. C’est un étranger qui vient exploiter nos ressources sans même faire bénéficier à la population autochtones un minimum d’avantages». Et pourtant le maire de Ndendory Bassirou Doro Ly aux lendemains de sa réélection a tiré la sonnette d’alarme pour avertir la société minière : « depuis 2009 jusqu’à nos jours, la société de Cheikh Amar exploite les phosphates de Matam mais la zone ne bénéficie absolument de rien. Aucune retombée. Nous n’avons ni taxes, ni impôts sur les revenus. Absolument rien. » L’édile de cette localité a toutefois précisé que la donne va désormais changer : « Mais, c’est fini tout ça !, tranche-t-il. Il faut que ce soit clair. Cheikh Amar nous doit une taxe communale depuis 2009. Nous ne sommes plus une communauté rurale. Nous sommes devenus une commune. Avec ce nouveau mandat que les populations viennent de nous confier, nous allons exiger et obtenir de la transparence dans toute exploitation de minerais dans cette zone. Nous saurons qu’est ce qui est exploité ? Qui l’exploite ? A quelle fin ? Et qui sont les destinataires des exploitations ? »

lundi 8 juin 2015

Tournée de prospection des établissements scolaires de la région de Matam

Dans le cadre de la lutte contre la malnutrition et l’insécurité alimentaire, l’ONG Action contre la faim (ACF) Espagne, à travers son Projet communautaire nutritionnel (ProCoNu) intervient dans vingt villages dans les départements de Kanel et Matam.
Le projet compte en même temps implanter des jardins scolaires quatre collèges et lycées parmi les seize situés dans les localités cibles pour amener les élèves à mieux connaître la malnutrition, à l’identifier et à s’engager efficacement pour son éradication.

A cet effet, trois critères ont été définis :
Ø  la disponibilité d’un espace pouvant accueillir le jardin dans l’établissement ;
Ø  la disponibilité de l’eau courante en permanence ;
Ø  l’engagement de la communauté éducative : l’équipe pédagogique, le gouvernement scolaire et l’association des parents d’élèves (APE) à garantir la mise en œuvre optimale du projet dans l’établissement : apport dans la construction des bassins, sécurité, prise en charge des factures d’eau.
L’expérience en jardin scolaire et en cantine constitue de bons discriminants.

Sur la base de ces critères, une grille d’évaluation a été élaborée pour faciliter le choix.
Pour plus d’objectivité dans la sélection, le projet et l’inspection d’académie (IA) ont effectué des visites de prospection les 1er et 2 juin dans les établissements avec l’accompagnement des inspections d’éducation et de la formation (IEF) de Kanel et de Matam.
La mission était ainsi composée :
PROCONU : Mouhamadou Baye dame GUEYE, Ramatoulaye SARR et Abdou Ousmane THIAM ;
IA : Alassane MBENGUE Secrétaire général et Macky Chérif GASSAMA ;
IEF Kanel : Omar BA et Ousmane BANE
IEF Mata : Mohamadou MBOW.

Dans le département de Kanel, les établissements suivants ont été visités : le CEM de Yacine Lacké, le CEM de Thiagnaf, le CEM de Aouré, le CEM de Semmé, le CEM de Orkadiéré, le CEM de Hamady Ounaré et le Lycée de Hamady Ounaré.
A l’issue de la concertation le choix s’est porté dans l’ordre sur : le CEM de Semmé, le CEM de Aouré, le Lycée de Hamady Ounaré et en fin le CEM de Hamady Ounaré.
A Matam, la mission s’est rendue aux CEM de Ndiaffane Sorokoum, d’Agnam Thiodaye, de
Dabia Kobilo, au lycée et collège de Ndouloumadji et au Lycée de Nabadji Civol.
Les établissements de Dondou et de Sinthiou Garba ne disposant pas de mur de clôture ont été disqualifiés.
Finalement ont été retenus par ordre : le Lycée et le CEM de Ndouloumadji, le CEM d’Agnam Thiodaye et le CEM de Ndiaffane Sorokoum.
NB : le lycée et le CEM de Ndouloumadji partagent le même espace et vont gérer en commun le jardin scolaire.

Cependant, la sélection a omis de prendre en compte un critère de base, celui de la vulnérabilité.   Les collèges et lycées présentant des conditions optimales ont été privilégiés au détriment des établissements, ayant failli à un critère certes, mais  exprimant un grand besoin à cause de la vulnérabilité de la zone et de la précarité de l’établissement.
Pour exemple le e lycée et CEM de Ndouloumadji dispose déjà d’un financement pour un projet de jardin scolaire alors que, le Lycée de Thianiaf répond positivement à tous les critères hormis le manque de clôture.

mardi 19 mai 2015

A Kédougou: l’exploitation minière, un frein au développement de l’agriculture.

Les grandes superficies octroyées aux sociétés minières privent les populations du département de Saraya de terre cultivables et accentuent la pauvreté.


Au moment où le Sénégal ambitionne de régler la question de l’auto suffisance alimentaire, à Saraya dans la région de Kédougou l’activité agricole se meurt. En effet ces  dernières années l’Etat est accusé d’être en connivence avec les sociétés minières dans la délivrance tous azimuts des permis d’exploration et d’exploitation de l’or. Cette situation continue de soulever l’ire des populations du fait qu’elles sont privées de leurs principales sources de revenus. Du coup l’agriculture est reléguée au second plan au risque dans quelques années d’installer les populations dans une extrême pauvreté source d’insécurité alimentaire. La situation est grave, d’où l’intérêt pour les autorités étatiques de revoir les critères d’attribution de ces permis.

lundi 11 mai 2015

Levée des couleurs à l'IA de Matam


Les phosphates et les élus locaux de Matam

Renforcement de capacités des élus locaux de la région de Matam sur la législation minière, la fiscalité minière et l’ITIE  en vue de leur permettre de jouer pleinement leurs rôles et responsabilités dans le cadre du processus ITIE.

Ces 28 et 29 Avril 2015, c’est déroulé à Ourossogui l’atelier de formation des élus locaux de la région de Matam sur la législation minière, la fiscalité minière et l’Initiative pour la Transparence dans les Industries Extractives (ITIE). L’atelier est organisé par le Programme Gouvernance et paix au Sénégal (USAID/PGP) en partenariat avec le réseau national des élus locaux pour la gouvernance minière (RELEGOM). Cet atelier va accroître les connaissances des élus locaux sur l’ITIE et singulièrement sur sa nouvelle norme ; améliorer le niveau de prise de conscience de l’Etat et des Collectivités locales de leurs rôles et responsabilités pour une meilleure transparence dans la gestion des ressources minérales. Car, après dix ans d’expériences et d’orientations l’Etat veut faire ce secteur un levier de développement local, régional et national. Le Sénégal a donc opté pour un nouveau modèle de développement pour accélérer sa marche vers l’émergence pour corriger  les contre-performances enregistrées dans la mise en œuvre des documents de politique économique et sociale jusqu'ici adoptés. Cette stratégie dénommée Plan Sénégal Emergent (PSE) constitue le référentiel de la politique économique et sociale sur le moyen et long termes. Dans ce travail de monitoring et d’analyse, la coalition des organisations de la société civile pour la gouvernance minière s’est vite rendu compte du quasi absence des collectivités locales dans le processus de prise de décision d’exploration, d’exploitation, de validation des protocoles et de suivi en matière de gouvernance minière.
Bien que l’acte III de la décentralisation prône la territorialisation de la mise en œuvre des politiques publiques, on constate que le secteur minier n’accorde aucune place et rôle aux collectivités locales. Ces dernières n’ont ainsi aucun pouvoir et ne sont pas consultées dans le processus de négociation pour l’octroi des permis ; aucun outil pour suivre les activités des sites minières. La population ne sent pas les retombées économiques de l’exploitation minière. En plus, les mécanismes d’indemnisations et de compensations des dommages et pertes subies ne sont pas justes, équitables et surtout point viables pour la survie des populations concernées.
Au sortir de cet atelier, les participants doivent organiser des rencontres d’approfondissement de la réflexion sur les problèmes d’exploitation des phosphates dans toute la région surtout que certaines collectivités locales n’étaient pas invitées à l’atelier. Promouvoir ainsi des cadres permanents de dialogue et de concertation au niveau local comme moyen de faire entendre et de résoudre les conflits engendrés par l’exploitation minières. En fin, organiser un forum d’échanges responsables entre les populations et les sites miniers pour repartir sur des bases saines car les frustrations exprimées sont nombreuses et s’étendent jusqu'au campus de Dakar. Pour rappel, Cheikh Amar appui chaque année l’association des étudiants de la région de Matam dans laquelle on note l’absence des étudiants du département de Kanel (le lieu où se trouve les phosphates de Matam).

mardi 10 mars 2015

Wade travaille pour Macky

La chronique médiatique l’a toujours dépeint comme un fin politique, c’est à dire un homme politique qui use de stratégie, d’intelligence et de ruse pour dérouter ses adversaires. Mais au crépuscule de sa carrière politique, l’on est tenté de se demander si cette réputation n’est pas surfaite pour Abdoulaye Wade. Tous les actes qu’il pose ces derniers temps sont assurément favorables à Macky Sall contre qui il prétend consacrer ses dernières énergies.

mardi 24 février 2015

Macky Sall, la course en tête



Macky Sall a été plus que la révélation de l’élection présidentielle de 2012. A la surprise générale, il en était le vainqueur. Abdoulaye Wade, candidat sortant, n’en revient toujours pas. Il continue à se demander par où avait bien pu passer Macky Sall pour le surprendre de la sorte. 

Quel a été le secret de la réussite de Macky Sall ? L’homme s’est révélé méthodique, obstiné et déterminé pour aller à la rencontre des populations. Macky Sall aura été le seul candidat qui avait visité tous les hameaux du Sénégal entre 2008 et 2012.