jeudi 24 juillet 2014

Témoignage sur la mort de Saer BOYE

Témoignage sur la mort de l'étudiant Saer BOYE. Ce dernier a été tué par son camarade étudiant hier soir vers 18h devant le restaurant "Central".

source: TFM

Abdoulaye Aziz Ndao et le "coup d'Etat" contre Me Wade


Le Colonel Abdoulaye Aziz Ndaw, tel un chirurgien qui opère, déchire avec sa plume qui lui sert de scalpel l'enveloppe de la réserve qui régit la gendarmerie dans son livre polémique parcouru par Leral.net. Le Colonel Ndaw, à défaut de pouvoir enlever la tumeur de la corruption et de l'escroquerie, entre autres, qui mine son corps de métier, montre avec les mots le cancer qui le tue à petit feu. Pour la partie qui nous intéresse, le Colonel Abdoulaye Aziz Ndaw y révèle la légèreté avec laquelle les renseignements sont donnés dans la gendarmerie. Pour exemple, il narre la fois où cette dernière a été convoquée à 3h du matin pour faire face à un coup d'Etat imminent du régime de Wade. Extrait

"Un Officier de renseignement est un homme d'honneur, intelligent et disponible pour sa communauté. Son métier exclut l'apprentissage et l'amateurisme.

L'amateurisme est grave en termes de renseignement et l'exemple qui suit en démontre le caractère pernicieux et dangereux pour un Etat.

En l'absence du Général FALL, Haut Commandant de la Gendarmerie, en mission au Congo, j'ai participé à un fait grave et inimaginable pour la Sécurité nationale. Je me suis trouvé réveillé et convoqué à trois heures du matin par le président de la République, lui-même, pour participer à une réunion urgente de Sécurité nationale.

Le président de la République avait reçu des renseignements faisant état d'une attaque imminente contre son régime. Des containers d'armes seraient déjà entreposés dans le port de Dakar et un commando de deux cents hommes devait débarquer à l'Aéroport LSS pour prendre ses armes et détruire son régime.

Il était demandé, dans l'urgence, aux Services de sécurité de prendre les mesures idoines et urgentes pour protéger les institutions de la République. A 3H30, nous retournâmes dans nos commandements pour prendre ces mesures.

Nous étions de nouveau convoqués vers 10H30 pour faire le point et définir la meilleure stratégie à même de battre les soi-disant mercenaires qui en voulaient au régime.

La réunion fut décevante par les laudateries dont avaient fait preuve la plupart des responsables de la République participant à la réunion. Officiers, généraux, comme Ministres. Leur discours militant se résumait à : « Dieu protège votre régime et vos ennemis ne peuvent rien contre vous ».

Seul le CEMGA fit preuve de retenue en disant clairement ne pas devoir s'affoler devant deux cents mercenaires. Mon tour de parole jeta l'émoi dans la salle et on entendait les mouches voler. Je posai au Président de la République la seule question qui valait : "Quelle est sa source et quelle est la valeur de sa source ?".

Le Président fut interloqué par cette question à laquelle non seulement il ne s'attendait pas mais, plus grave, dont il ne maîtrisait pas la réponse. Le père WADE, l'homme le plus diplômé du Caire au cap, ne savait ni ce qu'était une source encore moins les termes de classification.

Énervé et hors de lui, il me demanda de préciser ma question en m'affirmant que cette réunion était sérieuse et qu'on ne m'y avait admis qu'à la place de mon chef, il pardonnait mes errements, du moment que je n'avais pas l'expérience de cette réunion.

Je précisais ma question en lui demandant comment il avait reçu son renseignement, qui était la personne qui lui avait donné ce renseignement et quelle confiance pouvions-nous lui accorder.

Il fit appeler par son aide de camp son petit-fils garde de corps, Lamine FAYE, et lui demanda, sans autre civilité, d'introduire dans le Conseil de Sécurité son agent. La personne fut introduite avec son costume de Colobane et sa mine patibulaire. J'eus la surprise de ma vie et je me suis demandé comment de telles personnes pouvaient accéder aussi facilement à un président de la République et lui porter des informations aussi graves, aussi fallacieuses et aussi inadmissibles.

WADE, contre toute attente, me livra son informateur, ou plus exactement l'informateur de son petit-fils et garde du corps. Je lui demandai d'emblée combien il avait reçu après avoir livré une telle information, il me répondit deux millions.

Je lui demandai comment il avait eu cette information, était-il de la bande et combien les membres du commando allaient percevoir pour attaquer un pays comme le Sénégal.

Le gars ne sut que répondre. Comme tout menteur, il se mit à bégayer et à trembloter. WADE mit fin à l'entretien, le traita de gros menteur et ordonna la restitution des deux millions. Lamine FAYE et son informateur m'en voudront à jamais et WADE leva la séance pour retourner à des tâches plus sérieuses".



Source : Léral.net

mercredi 23 juillet 2014

Mamadou Sakho va construire un complexe sportif à Tambacounda

Mamadou Sakho est au Sénégal. Ce mardi 22 Juillet, l’international français d’origine sénégalaise procède à la pose de la première pierre d’un complexe sportif à Dar Salam (département de Tambacounda), annonce l’Agence de Presse Sénégalaise. Le défenseur tricolore d’origine sénégalaise et natif de Tamba œuvre dans le cadre de son association « Agir pour les autres ». 
Lors de la cérémonie d’aujourd’hui, il assistera à la finale du tournoi dont il est le parrain depuis plusieurs années et qui regroupe les ASC de la commune, vainqueurs des différentes zones de Navétanes 2013 : Dioko, Diambars, Deggo et Gounass. En plus du matériel sportif qui sera remis aux équipes finalistes, les trois clubs de la commune qui évoluent en National 1, Don-Bosco, Baobab et Coton Sport recevront aussi des équipements.

vendredi 18 juillet 2014

Israël massacre la Palestine



Ce mercredi 16 Juillet 2014, 4 enfants palestiniens sont morts sur une plage de Gaza. Une équipe de TF1 se trouvait sur place : un premier obus est tiré depuis un navire sur une cabane de pécheur, des enfants fuient alors sur le sable avant d'être touchés par un second obus. Attention, ces images peuvent choquer.

jeudi 10 juillet 2014

Une jeune fille de 25 ans était à la recherche d'un mari riche. Ce que ce millionaire lui a répondu.....




L'échange que vous vous apprêtez à lire serait paru dans une revue financière aux Etats-Unis. Une femme a écrit a un cabinet conseil en investissements pour demander des conseils en vue d’épouser un homme très riche (salaire annuel supérieur à 500 000 euros). Voici sa lettre, pour le moins absurde : “Je suis une belle jeune femme de 25 ans, bien élevée et j’ai de la classe. Je souhaite me marier avec un homme qui gagne au moins un demi-million de dollars par an. Avez-vous dans vos fichiers les adresses de quelques hommes célibataires (veufs ou divorcés) qui gagnent 500.000 dollars ou plus ? Peut-être aussi que des épouses d’hommes riches peuvent me donner quelques conseils ? J’ai déjà été fiancée à des hommes qui gagnent de 200 à 250 000 dollars pas plus…mais 250 000 dollars ce n’est pas suffisant pour que je puisse vivre dans les beaux quartiers de New-York. Je connais une femme, dans mon cours de yoga, qui s’est mariée à un banquier. Elle vit dans Tribeca, et pourtant elle n’est ni aussi belle que moi, et pas même intelligente. Mais alors, qu’a-t-elle fait que je n ai pas fait ? Comment puis-je atteindre son niveau de vie ?” Là où cela devient drôle, c’est avec la réponse du banquier. Du grand art, jugez-en par vous même : “J’ai lu votre courrier avec une grande attention, et après avoir longuement étudié votre demande, c’est avec grand soin que je me suis livré à une analyse financière de la situation. Premièrement, je ne vous fais pas perdre de temps puisque moi-même je gagne plus de 500 000 dollars par an. Laissez moi résumer simplement les faits : Vous mettez votre beauté physique et je mets l’argent. Malheureusement (pour vous), ceci est une bien mauvaise affaire. Il est certain que votre beauté va s’étioler et va un jour disparaître, alors qu’en même temps, mes revenus et ma fortune continueront très probablement de croître. Ainsi, ‘en termes économiques’, vous êtes un passif qui subit une dépréciation et je suis un actif qui produit des dividendes. Vous subissez donc une dépréciation, mais comme celle-ci est progressive, votre valeur diminue de plus en plus vite ! Soyons plus précis: Vous avez aujourd’hui 25 ans, vous êtes belle et sans doute le resterez vous durant les 5 ou 10 années à venir. Mais chaque année un peu moins, et quand vous vous comparerez à une photo prise aujourd’hui, vous constaterez combien vous avez vieilli. Cela signifie que vous êtes aujourd’hui dans la ‘phase de croissance’, c’est donc le bon moment pour être vendue mais non pour être achetée. En termes économiques, celui qui vous possède aujourd’hui à intérêt à vous avoir en “Trading position” (position de vente) et non dans “buy and hold” (acheter et conserver). Cest pourtant ce que vous offrez. Par conséquent, toujours en termes économiques, le mariage (qui est un “buy and hold”) avec vous n’est pas une bonne affaire à moyen ou à long terme. En revanche, la location pourrait être, en langage commercial, une affaire raisonnable que nous pouvons discuter. Je pense que si vous fournissez la garantie “bien élevée, avec de la classe et merveilleusement belle”, je pourrais très probablement être le locataire de ce “produit”. Cependant, je souhaite faire, ce qui est une pratique habituelle en affaire, un essai. C’est à dire un “test drive” avant de concrétiser l’opération. Pour résumer : comme le fait de vous acheter est une mauvaise affaire pour cause de dévaluation croissante, je vous propose une location d’une durée pendant laquelle le matériel est dans un bon usage. En attendant de vos nouvelles, je prends congé.

Cordialement,

Un millionnaire”