vendredi 30 mai 2014
mardi 27 mai 2014
Les autorités nigérianes annoncent la localisation des filles enlevées par Boko Haram
Les autorités nigérianes ont annoncé lundi avoir localisé les 200 filles enlevées par le groupe Boko Haram depuis plus d’un mois sans plus de précision, rapportent des médias internationaux.
‘’La bonne nouvelle pour les filles, c'est que
nous savons où elles se trouvent. Mais nous ne pouvons pas vous le dire’’, a
déclaré chef d'état-major de l'armée de l'air, le maréchal Alex Badeh, à Abuja,
indiquent les mêmes sources.
L’enlèvement de plus de 200 lycéennes nigérianes, âgées de 12 à 18 ans, le 14 avril dernier, à Chibok, dans l’Etat de Borno, dans le nord du Nigeria, a provoqué une vague d’indignation mondiale.
Des femmes membres de la société civile sénégalaise et nigériane, des enfants de différents établissements scolaires ont organisé, le 16 mai à Dakar, une marche de solidarité et de soutien aux filles.
Boko Haram est une organisation dont l’ambition est d’instaurer et de faire appliquer la loi islamique au Nigeria. De type islamiste, elle promeut le Jihad et rejette l’éducation occidentale assimilée à "un péché".
L'organisation s’illustre ainsi, depuis 2009, par une série d'actes de violence à l’encontre du gouvernement et des populations du nord du Nigeria. L’insurrection menée par Boko Haram a fait des milliers de morts dont plus de 1.500 depuis début 2014, selon des chiffres officiels.
L’enlèvement de plus de 200 lycéennes nigérianes, âgées de 12 à 18 ans, le 14 avril dernier, à Chibok, dans l’Etat de Borno, dans le nord du Nigeria, a provoqué une vague d’indignation mondiale.
Des femmes membres de la société civile sénégalaise et nigériane, des enfants de différents établissements scolaires ont organisé, le 16 mai à Dakar, une marche de solidarité et de soutien aux filles.
Boko Haram est une organisation dont l’ambition est d’instaurer et de faire appliquer la loi islamique au Nigeria. De type islamiste, elle promeut le Jihad et rejette l’éducation occidentale assimilée à "un péché".
L'organisation s’illustre ainsi, depuis 2009, par une série d'actes de violence à l’encontre du gouvernement et des populations du nord du Nigeria. L’insurrection menée par Boko Haram a fait des milliers de morts dont plus de 1.500 depuis début 2014, selon des chiffres officiels.
vendredi 23 mai 2014
Les Fautes sur le Coran : Oumar Sankharé récolte la colère des islamologues
"Quand bien même tous les
arbres de la terre se changeraient en calames (plumes pour écrire), quand bien
même les mers se transformeraient en océan d'encre, où conflueraient sept
autres océans, les paroles de Dieu ne s'épuiseraient pas. Car Dieu est Puissant
et Sage." C’est ainsi que le Créateur de l’Univers cristallise, dans la
Sourate 31, Verset 27, consacré à «Luqman», ce grand sage de l’ère
pré-islamique, le caractère immuable, inimitable, et «in-plagiable» (si le
grand agrégé en grammaire, le professeur Oumar Sankharé nous permet d’user de
ce néologisme barbare !) du Livre Saint. Dont le Seul et Unique inspirateur
devait asséner, comme pour mettre prémonitoirement en garde contre les futurs
assauts, certes stériles, des inévitables contempteurs du Livre Sacré, à
travers les âges : «En vérité c’est Nous qui avons fait descendre le Coran, et
c’est Nous qui en sommes Le Gardien» (Sourate 15 «Al-Hijr», Verset 9).
Connu pour être
un Senghoriste passionné, agrégé en grammaire et non moins
arabisant, Pr Oumar Sankharé a remis en cause l'ordre établi
avec la publication de son dernier roman. Il essaie de démontrer que le
Prophète de l'islam n'est pas un illettré et que le Coran est imprégné de la
culture grecque, car renfermant plusieurs aspects que l'on retrouve dans les
œuvres de Platon et Parménide, ou encore « qu'il y a des fautes dans le Coran
». Pr Khadim Mbacké,
islamologue se dit étonné, car Pr Sankharé dit des choses
difficiles à comprendre. Or, là, je vois qu'il ne fait pas forcement
preuve de clarté dans les idées qu'il avance ».
Selon Pr Mbacké, il y a beaucoup de confusions et d'affirmation gratuites. Et pour régler le problème, il invite son compatriote au débat. « Je lui propose de venir engager le débat en arabe avec nous, moi, je suis prêt sur la question. Un débat en français et en arabe », défie professeur Khadim Mbacké. Oustaz Alioune Sall n'a pas lui-aussi ménagé le professeur Sankharé. « De toute ma vie, il est le seul individu que j'ai entendu dire qu'il existe des fautes dans le Coran », souligne-t-il. Selon Oustaz Sall, « si on parle du Coran et qu'on n'accepte pas d'en débattre avec les « Ndongo Daaras », cela signifie qu'on a peur d'eux, car le Coran, ce sont les « Ndongo daaras » qui le maîtrisent ». D'ailleurs, il avertit « qu'au Sénégal quelqu'un qui s'attaque au Coran va le regretter toute sa vie ».
Selon Pr Mbacké, il y a beaucoup de confusions et d'affirmation gratuites. Et pour régler le problème, il invite son compatriote au débat. « Je lui propose de venir engager le débat en arabe avec nous, moi, je suis prêt sur la question. Un débat en français et en arabe », défie professeur Khadim Mbacké. Oustaz Alioune Sall n'a pas lui-aussi ménagé le professeur Sankharé. « De toute ma vie, il est le seul individu que j'ai entendu dire qu'il existe des fautes dans le Coran », souligne-t-il. Selon Oustaz Sall, « si on parle du Coran et qu'on n'accepte pas d'en débattre avec les « Ndongo Daaras », cela signifie qu'on a peur d'eux, car le Coran, ce sont les « Ndongo daaras » qui le maîtrisent ». D'ailleurs, il avertit « qu'au Sénégal quelqu'un qui s'attaque au Coran va le regretter toute sa vie ».
jeudi 22 mai 2014
Alerte maximale à l ’Université de Saint- Louis : Les forces de l’ordre s’emparent du Campus
La situation commence à dégénérer à l’Université de Saint-Louis. Selon les dernières informations obtenues par des étudiants et blogueurs, la police s’est emparée du campus universitaire depuis ce matin. 90% des étudiants ont déjà plié bagages, laissant les forces de l’ordre sur les lieux par peur de représailles. D’après le blogueur Thierno Dicko, il n’y a plus de sécurité sur place.
« Les étudiants ont peur du pire, car les policiers pénètrent dans le campus. J’ai peur de revivre le scénario de 2009. J’ai plié bagage pour rentrer à Dakar» dit-il sur sa page facebook pour avertir les autorités.
Hier également, les étudiants de l’université de Dakar ont longuement affronté les forces de l’ordre au campus, lors de leur manifestation consécutive aux éternels problèmes de bourses et d’inscriptions en Master. Plusieurs blessés graves ont été notés dont certains « dans une situation inquiétante ».
En conférence de presse hier, le ministre de l’Enseignement supérieur a réaffirmé avec fermeté que force restera à la loi. Mary Teuw Niane ne compte pas reculer face à cette situation qui paralyse l’enseignement universitaire au Sénégal depuis un moment.
Affaire à suivre...
Mandataire de Ogo : les six accusés prennent 2 ans avec sursis
Le procès des six mis en cause a eu lieu aujourd’hui sous un très fort dispositif sécuritaire à Matam. Les forces de l’ordre ont été renforcées par les ASP à cette occasion. Pour rappel, le mandataire de Benno Bokk Yakaar dans cette commune rurale de la région de Matam (Alassane Niane) avait été pris en otage à quelques heures de la clôture du dépôt des listes pour les locales de juin. Ce qui avait conduit à la forclusion de ladite liste. Des proches de l’ancien ministre Abou Lô ont été accusés de cette action. Ainsi, Abou Lô a été depuis démis de son poste de directeur général de L'Autorité de Régulation des Télécommunications et des Postes et les accusés arrêtés.
mardi 20 mai 2014
Assises de l’éducation et de la formation de la région Matam
Après
la tenue des foras dans toutes les collectivités locales de la région, les
acteurs de l’éducation se sont retrouvés le Mercredi 07 Mai 2014 au centre
culturel de Matam pour valider les rapport issus de ces différentes assises. Y étaient
présents : le Gouverneur, l’Inspecteur d’Académie, les Inspecteurs
départementaux, les Maires, les Présidents de Conseils Ruraux, les Enseignants,
les maitres Coraniques, les parents d’élèves et élèves et d’autres partenaires
de l’éducation.
A
l’issue des concertations, les populations se sont uniformément préoccupés de l’incapacité
du système actuel à transmettre les valeurs dans lesquelles les communautés se
reconnaissent et à assurer une formation en phase avec les besoins.
Leur
vision est d’avoir une école de base consensuelle, ancrée dans le milieu,
capable de revaloriser tout son patrimoine culturel, s’appuyant sur ses potentialités économiques
et en phase avec les exigences actuelles du développement local dans la
perspective de la consolidation de l’unités nationale.
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